Cahier de bord : Madère … les brèves….

La vie s’écoule doucement, depuis mardi, à Machico, au rythme des marées, qui font plus ou moins roulé Contre-Temps, et des petits travaux à bord.

L’équipage a repéré les deux spécialités culinaires du coin et les testent tous les jours : il dévore le pain de Madère et son délicieux gâteau pain d’épices aux fruits confits !!!

Le capitaine, contemplatif enfin, a découvert que l’une des montagnes cernant la Baïa de Abra, que nous voyons au loin, est l’original du tableau de Munsch « le cri ».  Il attend que ce très cher Francis arrive avec son gros appareil – photos- pour réaliser un beau cliché.

(ALBUM PHOTO Madère)

Le mousse a fait sa première vraie sieste au soleil, vautrée dans le trampoline ! C’est bon !!!!!

Le mousse n’est toujours pas tombée à l’eau en montant ou en descendant de l’annexe !!! Le mousse admet que cela ne serait tardé, elle s’y prend comme un manche mais elle fait ce qu’elle peut !

Le capitaine, dégouté d’avoir fait une journée de plomberie – il aime pas la plomberie -, s’est arrêté dans son élan, la cabine tribord sera finalisée au Canaries, ou peut être au Cap Vert…

Samedi soir à Machico , la ville est séparée en deux :

- d’un coté, une grande scène avec des groupes folkloriques qui agitent beaucoup leurs bras et leurs gambettes – à ce qu’on voit de Contre-Temps-

- de l‘autre, une scène plus petite, réservée « aux jeunes pour qu’ils s’amusent », on a compté 8 WC de chantiers installés et une dizaine de pompe à bières !!!

Ça va chauffer cette nuit à Machico…

Juste pour rire …

Le capitaine a envoyé à toutes ses pop’stars et ses potes son nouveau N° de tel en libellant le message comme suit « mon nouveau numéro de tel est le ….. ».

Pas de signature, rien !!!

Et il s’étonne que personne ne l’appelle depuis ….

Et il ne comprend pas que personne n’est pu l’identifier ?!!!!

Qui peut lui expliquer ….

Le capitaine est pantois :

Il s’interroge sur l’usage de la lavette –rose- près de l’évier de la cuisine. Le mousse répond « c’est plus qu’une éponge et moins qu’un torchon ».

Le capitaine ajoute « on est bien peu de chose ! »